Le débit de l’eau est intéressant puisqu’il apporte une quantité importante d’informations. Il est ainsi possible de gérer les crues ainsi que la sécheresse. Il existe donc plusieurs produits susceptibles de combler vos besoins.
Des outils adaptés pour l’étude des cours d’eau comme les rivières
Les produits concernant le débit d’eau sont nombreux, mais la plupart ont recours à l’effet Doppler. Ce dernier possède un avantage à ne pas négliger que ce soit au niveau de l’étalonnage ou encore de l’économie. De plus, la précision est largement au rendez-vous, mais les professionnels peuvent également jeter leur dévolu sur d’autres technologies. Dans tous les cas, pour les cours d’eau moyens ainsi que les rivières, le SL sera parfait alors que l’IQ sera primordial pour les petits canaux. Si vous avez l’intention de vous focaliser sur les conduites en charge, l’IQ Pipe sera idéal au même titre que le RiverSurveyor M9, qui est adapté à tous les cours d’eau.
Le débit de l’eau vous informe sur les crues, et même la sécheresse
Le catalogue est vaste puisqu’il a la particularité de s’adapter à votre demande et surtout à la configuration de votre mission. C’est pour cette raison que les courantomètres, les drones aquatiques, les sondes CTD ainsi que les débitmètres pourraient satisfaire vos exigences même si vous êtes pointilleux. Nombreux sont ceux qui se questionnent sur l’utilité de ces produits qui n’auront aucune signification pour les particuliers. Pourtant, lorsqu’ils entendent à la radio ou sur les chaînes d’informations les mots « sécheresse » ou « crue », il est important de noter que ces technologies ont été utilisées afin d’offrir des statistiques. Par exemple, les chercheurs se basent sur les données obtenues lors des études pour nous avertir que 85% des réserves d’eau avaient été épuisées pour le niveau de la Garonne.
Le débit de la Garonne est maintenu, mais pour combien de temps ?
EDF, qui est à l’origine de la gestion des barrages, a signifié que 35 millions de mètres cubes avaient été utilisés de Juillet jusqu’à la mi-Septembre sur les 51 millions disponibles. C’est une consommation particulièrement inquiétante qui pousse les scientifiques à s’attarder sur le débit de l’eau. Les équipes en charge de ce projet ont encore les moyens d’injecter 6 mètres cubes par seconde, cela permet de maintenir ce niveau, mais un problème de taille est au rendez-vous. Si aucune amélioration n’est identifiée prochainement, les autorités devront sans doute procéder à des restrictions.